O Loana Bella, Tchi-tchi,

J’ai, jusqu’à présent, évité d’encenser ou de descendre cette icône blonde, la première gagnante d’une téléréalité française, celle qui couchait le premier soir, qui a connu la vraie galère, qui porte le silicone comme personne, qui a écrit un roman, a sorti un disque, joue les vraies femmes d’affaires et obtient un nombre record de couvertures de presse tous supports confondus… et possède finalement un QI qui pourrait en complexer plus d’un !

Que voulez-vous cette Marilyne à la française, cette Marianne de la téléréalité attire la lumière pour le meilleur et pour le pire.

Hier, au cœur de la jungle brésilienne, elle reprit du service en remportant jour après jour le vote des téléspectateurs les plus assidus de « Je suis une célébrité, sortez moi de là ! ». A l’unanimité, ils voulaient du Loana, au cœur de la cage aux serpents, dans la rivière tête bêche, et même à l’attaque des avalanches de boue. Loana au bras de Omar Harfouch, voilà un été qui fut plein de romance : « La blonde et le milliardaire » ou la promesse d’un roman photos comme on les aime, à découvrir dans les pages de Voici… « C’est l’amour à la plage, Bahoum, Tcha, Tcha Tcha … » !

Mais en attendant, sa crinière décolorée fait frémir dans le landernau, ne laissant absolument personne indifférent, c’est d’ailleurs la grande force de Loana : elle ne plaît pas à tout le monde, mais tout le monde en parle !

Loana : un phénomène de foire, une chatte sur un toit brûlant comprendre une égérie sexy, une intelligence supérieure de la communication média et une experte des coulisses People, ou encore une comtesse aux pieds nus ? Toutes les versions me semblent à ce jour envisageables.

Entre nous, je ne l’imagine absolument pas prête à crier « Je suis une célébrité, sortez moi de là » dans l’oreillette des sieurs Dechavanne Foucault ! Accrochée aux lianes de l’émission, là voilà sur le devant de la scène au summum de l’exposition médiatique, bien décidée à faire parler d’elle. Et quand je vois le travail, je me dis que Loana triomphera peut-être encore une fois !

Blondement vôtre.

Julia Santi

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